Avec Mamouchka « c’est comme cela qu’il m’appelle » Maxime joue, fait des puzzles. Nous commençons à jouer aux dominos. Déjà à 3 ans, il gagne. Il apprend les chiffres, les lettres. Puis ses parents se séparent mais je continue à le garder en journée et à l’emmener à l’école. Maxime illumine ma journée, et m’aide à traverser les moments difficiles.
Quelques années plus tard la maman de Maxime déménage et Maxime change d’école. Je n’ai plus Maxime avec moi, il me manque. Nous nous téléphonons, il vient me voir.
Enfin une bonne nouvelle ! Benoît, son papa et Sylvie donnent un petit frère à Maxime : Corentin. Maxime est fou de joie. Hier, Maxime m’annonce une super nouvelle : sa maman est enceinte, il va avoir un deuxième petit frère ou sœur. Il pleure de joie.
Le petit hic dans cette histoire, c’est que la maman de Maxime, va habiter à Montpellier à la fin de l’année scolaire. C’est pour moi une nouvelle déchirure. Mais il nous reste le téléphone, MSN et la webcam. Voilà. C’est triste. Mais nous continuerons à nous aimer. Maxime a 9 ans, c’est un grand, maintenant.
Le texte est un peu long, mais c’est le cri d’amour d’une grand–mère pour son petit fils Maxime, son rayon de soleil. Et je suis sûre que quelqu’un se reconnaîtra dans « Mamouchka. » Et si vous me posez la question : et si c’était à refaire ? Je vous réponds : je signe, car je ne regrette pas tous ces moments de complicité avec mon petit chéri.
Danièle A.